Marlène et son mari. |
L'albergue de Villapuente "Santa Lucia" est nickel, pratiquement neuve, escalier en marbre, parquet flottant dans les chambres, sanitaires propres et rutilants, un trois ou quatre étoiles sur mon guide du Camino.
Ayant bu un litre d'eau pour compenser la dépense énergétique de la journée, je me suis mis à la terrasse devant une "San Miguel" pour savourer le repos bien mérité après neuf heures de marche, c'était la journée la plus longue depuis le départ sur le Chemin, ayant éprouvé le besoin de récupérer le temps perdu, j'avais dépassé l'étape prévue.
Fleur sur le Camino. |
Pour la première fois, je rencontre deux réunionnais partis en même temps que moi, membres de l'ARCC, nous partagions nos impressions et nos espoirs sur la suite du chemin.
L'Albergue Publico de Pérégrinos Servias de Maria, de la ville d'Astorga est tenu par un hospitalier japonais et par une étrange coïncidence je fis la connaissance d'une japonaise dans ma chambrée dans le lit au dessus de moi, "KIMIKO" parlant un français impeccable qu'elle a appris sur "Radio France
l'arrivée sur Astorga. |
Internationale (R.F.I.)", elle habite dans la banlieue de Tokyo. Je lui demande si elle a eu des répercutions sur la catastrophe des centrales nucléaires, elle me répondit par la négative.
Revenons à ma rencontre avec les deux réunionnais "Marlène" et son mari, faisant partis du groupe de Jean-Paul BLARD, dont j'avais des nouvelles par d'autres pèlerins, ce fut une grande joie de se retrouver sous d'autres cieux, sur le Chemin des étoiles.
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